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Je ne suis pas candidat par ambition personnelle, je suis candidat parce que je crois à la force du collectif. Mon projet n’est pas celui d’un homme seul, mais celui d’une équipe et d’une méthode. Une équipe habituée à gérer des problématiques complexes, motivée par l'écoute et l'efficacité. Une méthode rigoureuse et créative au service du bien-vivre à Avignon, pour s'adapter aux enjeux d'aujourd'hui et de demain   

BENOIT BELVALETTE, CANDIDAT PLACE PUBLIQUE AVIGNON

BENOIT BELVALETTE

Je suis un homme de service public et un homme de projets. 

Après 20 ans de carrière en Provence Alpes Côte d’Azur au plus près des questions sociales, au coeur des politiques publiques, j’ai pris des fonctions dans le Vaucluse et plus précisément à Avignon. 

J’ai dirigé des projets de jeunesse, de prévention, d’insertion ici, en tant que directeur territorial de la Protection judiciaire de la jeunesse.

Aujourd’hui, en tant qu’inspecteur au ministère de la Justice, j’ai la responsabilité d’évaluer, de contrôler et d’accompagner l’action publique. Ce rôle m’a conforté dans une conviction profonde : l’action publique doit être à la fois exigeante et humaine. 

Exigeante, parce qu’elle engage des moyens collectifs et doit rendre des comptes aux citoyens. 

Humaine, parce qu’elle touche à la vie des personnes, à leurs droits, à leurs espoirs.

Cette double exigence – efficacité et humanité – est une boussole pour moi.

C’est exactement ce que je veux apporter à Avignon : une gouvernance rigoureuse, transparente, mais toujours au service du quotidien des habitantes et des habitants. 

 

J'ai vu de l’intérieur comment l’action publique peut transformer des vies quand elle est bien pensée et bien conduite.

Mais j’ai aussi vu ses limites. Les limites d’une action parfois trop verticale, trop lente, trop éloignée des habitants. 

C’est pourquoi je m’engage aujourd’hui dans ces élections municipales : pour passer du constat à l’action, pour mettre mon expérience au service direct des Avignonnaises et des Avignonnais. Je ne quitte pas le service public : je l’assume pleinement, mais à un autre niveau, celui où l’on écoute, on décide et où l’on rend des comptes. 

Pour moi, être maire, c’est la continuité logique d’un parcours consacré au collectif. 

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